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24 octobre 2007

les passantes

passante

Je veux dédier ce poème
A toutes les femmes qu'on aime
Pendant quelques instants secrets
A celles qu'on connait à peine
Qu'un destin différent entraîne
Et qu'on ne retrouve jamais

Georges Brassens - Les passantes
Paroles: Antoine Pol. Musique: Jean Bertola

Ça a dû arriver à tout le monde un jour de faire la liste de ses amours passées (amour délice et orgue, remember ?)

Spéciale dédicace à P. qui écoute Brassens alors qu'elle n'était même pas née quand il est mort.

Spécial commentaire à Francis Cabrel : Mon chéri, si tu m'aimes en secret, n'hésite plus : appelle moi au 06 86 ** ** 32

photographie Gérard Laurent 

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Commentaires
J
Cela n'est pas grave.Mais c'est vrai que c'est une erreur qu'on retrouve souvent sur le net.Non, je ne suis pas de la famille de Georges.Seulement un amateur de la première heure.A toutes fins utiles, vous pouvez consulter le site du petit-fils d'Antoine POL, qui est l'auteur des paroles des passantes.C'est un homme charmant, poéte comme son grand père.J'ai l'honneur de posséder un exemplaire du livret " Les émotions poétiques" d'ou est tiré " Les passantes", dédicacé par lui.
M
Je veux bien vous croire ! Si j'ai écrit cela, c'est que j'ai dû le lire quelque part sur internet, mais on lit souvent des âneries sur internet ;-) <br /> <br /> Seriez-vous de la famille de Brassens ?
J
Bonjour.Juste une chtite remarque : contrairement à ce qui est indiqué, c'est Brassens lui-même, et non Bertola, qui a écrit la musique de cette si belle chanson .Et, en Brassens, je crois m'y connaitre un peu.Amitiés à tous.Joël
T
Ça y’est ! Je l’ai retrouvé ! Je me disais bien aussi que j’avais vu « les passantes » autre part que dans une chanson de Brassens ! Bobo aussi ! (euh Baudelaire, plutôt, mais j’l’appelle Bobo dans l’intimité…)<br /> <br /> A une passante<br /> « La rue assourdissante autour de moi hurlait.<br /> Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse,<br /> Une femme passa, d'une main fastueuse<br /> Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ; »<br /> <br /> Par contre, je préfère la version de Brassens : les rrrr roulés, et puis le vieil accent, la chanson pleine, ronde… c’est extrêmement rare que je trouve un « repreneur » qui vaille l’original !
F
Sylvain, il doit regretter les blogueuses qu'il n'a pas eues (sous contrat), c'est un classique ! :-)))
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